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JOURNEE DU 16 OCTOBRE 2009 à GRENOBLE

Bourse du travail – 32 avenue de l’Europe



COLLOQUE

9H30 / 12 H 30 Thème :

Modernisation du contrat de travail

Quel bilan plusieurs mois après ?



9h30 / 10h30 * Présentation de l’accord du 11 janvier 2008 sur la modernisation du contrat du

travail

* Ce qui a conduit à cet accord,


par Stéphane LARDY, Secrétaire confédéral et négociateur


Intervention de la Direction départementale de l‘emploi et de la formation

professionnelle de l’Isère : Statistiques en Isère


11h15 / 11h45 Pause


10h30 / 11h00 * Application sur le terrain

Témoignage de Charles Gérard, Conseiller juridique UD FO Isère et de

Conseillers du salarié FO.



11h45 / 12h30 Impact de l’avenant du 19 janvier 2009

Portabilité, garanties santé/prévoyance et application au 1er juillet 2009

La continuité de la couverture : une idée FO !


Présentation et impact, vision des gestionnaires :

Une Mutuelle, ADREA

Deux groupes de protection sociale : AG2R/PREMALLIANCE, REUNICA


12h30 / 13h00 Discussion et conclusion avec les intervenants

Animation par Jean-Pierre GILQUIN, Secrétaire général UD FO ISERE.



COMITE GENERAL



L’après-midi sera consacrée à :


  • La situation économique et sociale dans le département,

  • les dégâts engendrés par la crise,

  • les perspectives du second semestre.


Stéphane LARDY, Secrétaire Confédéral, apportera l’analyse de la Confédération sur ces différents points, notamment sur les perspectives d’actions intersyndicales.


Tous les syndicats doivent être présents et participer activement au colloque et au comité général.

Aidez nous à réussir cette journée.


Une participation au repas de 5 E est demandée par repas.


Pour une bonne organisation, compléter le coupon-réponse ci-dessous et joignez le chèque de réservation.



?

FICHE D’INSCRIPTION au

COLLOQUE et COMITE GENERAL du 16 octobre 2009


(pour le secteur privé, utilisez les heures syndicales : DP / CE / DS)



LE SYNDICAT F.O. DE _______________________________________________________________________________

(nom de la section ou du syndicat)


participera au colloque et comité général


NOM DES PARTICIPANTS :


NOMS PRENOMS Participation repas)







Nombre de repas réservés ………………. X 5 E = ……………………. Chèque joint


Retourner cette fiche d’inscrption : ? UD FO Isère - bourse du travail - 32, av. général de Gaulle - 38030 Grenoble cedex 02 - ? 04 76.09.76.36


 

 

 

SAMEDI 13 JUIN 2009

GRANDES MANIFESTATIONS

A l’appel de l’ensemble des organisations syndicales.

Chômage, licenciements, perte du pouvoir d’achat, précarité… les salariés payent la facture, le gouvernement ne répond pas !

La mobilisation doit monter d’un cran.

Venez nombreux aux manifestations du 13 juin, faites-vous entendre !

Départs des manifestations :

GRENOBLE     14 H Cours Jean Jaurès   

BOURGOIN     10 H Parking Diederichs

VIENNE            14 H 30 Champ de Mars    

Résister et ne pas lâcher !

Chômage, licenciements, perte du pouvoir d’achat, précarité…telles sont les conséquences dramatiques qui touchent les travailleurs et retraités. Ils paient l’addition d’un menu qu’ils n’ont pas commandé.

La dégradation de la situation économique et sociale s’accentue, sans que le gouvernement et le patronat ne mesurent l’aggravation de l’injustice sociale et prennent véritablement leurs responsabilités. Ce ne sont d’ailleurs pas les quelques avancées obtenues qui amélioreront durablement la situation des salariés.

Le gouvernement ne répond toujours pas aux appels répétés des travailleurs, si ce n’est par quelques provocations, signifiant par exemple son refus d’augmenter d’une manière conséquente le SMIC au 1er juillet prochain, sa volonté de généraliser le travail du dimanche ou les 34000 suppressions de postes en 2010 dans la fonction publique.

Les plans de relance, basés uniquement sur l’investissement sans le soutien à la consommation par l’augmentation générale des salaires, resteront inefficaces.

Il faut une véritable rupture de la politique économique et sociale.

La réussite du 1er Mai et surtout des 29 janvier et 19mars n’a pas suffisamment pesé: nos revendications demeurent sans réponse. Pour Force Ouvrière, il est évident que la mobilisation doit maintenant monter d’un cran en changeant de forme d’action. Un appel commun de l’ensemble des organisations syndicales à vingt-quatre heures de grève est nécessaire pour faire bouger le gouvernement et le patronat.

C’est une question d’efficacité et de pragmatisme. Le syndicat est un outil pour les travailleurs. Son rôle est de les défendre et de les représenter, pas de cogérer la crise avec les pouvoirs publics.

ALORS CONTINUONS À MARTELER NOS REVENDICATIIONS..

_______________________________

MARDI 26 MAI 2009 - 10 H, GRANDE MANIFESTATION à GRENOBLE
Départ COURS JEAN JAURES
à l'appel des huit organisations syndicales de l'Isère

POUR :
* l'emploi,
* les salaires,
* l'arrêt des suppressions d'emploi dans le secteur privé et la fonction publique,
* ...

Tous à la Manifestation du 26 mai.

______________________________________________

30 000 Manifestants le 1er mai*

70 000 Manifestants à Grenoble le 19 mars

 

DISCOURS DE FIN DE MANIF : « C'est clair ! »


C'est clair nous sommes aujourd'hui plus de 60 000 dans la rue. Ce n'est pas pour profiter du beau temps et se partager les rayons du soleil mais bien parce que nous sommes convaincus que nous sommes les victimes d'une crise dont nous ne sommes pas responsable. Les mesurettes annoncées au lendemain du « sommet social » ne touchent pas aux fondements même de la crise, née de la déflation salariale et d’une montée sans précédent des inégalités. L'éventuel partage des profits grâce à l'intéressement exonéré de charges sociales n'est que de la mousse médiatique. Mieux vaudrait se poser la question d’un rééquilibrage du partage des richesses créées en partageant mieux la valeur ajoutée. De 1980 à 2006 selon l'OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques) la part des salaires dans la richesse crée dans les pays « riches » est tombée de 67% à 57%. Ces 10 % que l'on nous a volé l'on été au détriment de nos salaires, mais aussi des investissements de nos entreprises et de la recherche développement. L'argent distribué aux actionnaires pour alimenter la spéculation est aujourd'hui parti en fumée en alimentant la crise financière qui se transforme en crise économique sans précédent. Si les salariés avaient profité de plus de pouvoir d'achat ils l'auraient majoritairement dépensé dans le circuit économique ce qui aurait contribué à une meilleure croissance.


C'est clair que le gouvernement a fait du chômage partiel sa mesure phare pour lutter contre les licenciements, mais ce n'est qu'un moyen de calmer les tensions sociales avant la mise en place réelle de licenciements. Le risque de chômage total reste très élevé pour les salariés concernés par le chômage partiel. Aujourd'hui beaucoup d'entre nous, ou même la plupart d'entre nous connaissent le chômage partiel. Voir une usine qui s'arrête même pour quelque jours c'est effrayant, on pense toujours que ça n'arrive qu'aux autres, et quand ça arrive on se rend compte que nous sommes fragiles, peut de chose en fait! Certains d'entre vous on fait des heures sup pendant 9 mois l'année dernière pour ensuite chômer plus en fin d'année ! Mais quelquefois le comble : les heures supplémentaires sont perdues. A cause de l'annualisation du temps de travail. Bosser un dimanche ça peut créer des tensions au sein des couples, conduire à l'annulation d'un repas de famille. Mais on se dit qu'il y aura un plus financier à la fin de l'année.... Et puis rien.


C'est clair que cette crise devient une opportunité patronale pour encore plus de flexibilité, (Il y a déjà des accords dans le département de plus ou moins 250 heures sur deux ans). En fait ils veulent que l'on travaille à la carte « patronale ». La plupart des salariés aujourd'hui n'ont plus de congés y compris ceux de 2009, ils ont abandonné leur RTT, soldés leur compte épargne temps. D'autres ont été priés d'aller se former. Pour certains ça a permis d'amortir le choc. Mais ce chômage partiel perdure et même si on souhaite le nommer; « activité partielle », dans tous les cas pour nous salariés la réalité c'est « Rémunération partielle ». Maintenant les pertes nettes arrivent. Le « gagner plus » se transforme en « chômons tous ensemble! » Tout est bon pour que le patronat exerce des pression sur les augmentations de salaires pourtant "indispensables" lors des négociations annuelle obligatoire, et les remises en cause de primes et autres avantages ne sont pas des exceptions.


C'est clair que les temps changent mais que la politique économique et sociale reste la même. On entend toujours parler du travail du dimanche, et les heures sup défiscalisées qui en période de crise se transforment en une machine infernale, une entreprise nationale d'exclusion de l'emploi. Les patrons sont incité à ne pas embaucher voire à licencier en faisant faire le travail par les salariés qui restent, en heures supplémentaires ! Pour Jean-Claude Mailly Secrétaire Général de Force Ouvrière: « On peut même dire que les heures supplémentaires permettent de licencier davantage ». Les dégâts de cette politique sont évaluées à une perte de 90 000 emplois.


C'est clair que le patronat et en particulier le MEDEF a une lecture à géométrie variable de la crise, selon ses intérêts. Prompt à souligner qu’il fallait envisager une sortie de crise en 2010, le patronat, en particulier le MEDEF, pronostique une crise longue quand il s’agit de négocier en matière de retraites complémentaires. Ainsi, en matière de retraite, le MEDEF conditionne actuellement tout accord à un report de l’âge de la retraite, ce qui reviendrait à tuer le droit à la retraite à 60 ans, ce qui bien entendu est inacceptable. Ce qui se joue en la matière, c’est non seulement le sort de millions de salariés et retraités, c’est aussi l’avenir du paritarisme et de la retraite par répartition. Faute d’accord dans l’immédiat, ce sont déjà 100.000 salariés qui attendent les conditions de liquidation de leur retraite.


C'est clair que les provocations sont toujours à la mode; vendredi dernier le 13 mars 2009, le Président de la République a déclaré en parlant du discours syndical « même si c'est parfois pas toujours lumineux, ce qu'il dit» notre message d'aujourd'hui est pourtant clair : les profits d’aujourd’hui font les licenciements de demain et tout prouve que c’est bien une crise du système à laquelle nous sommes confrontés. Dans ces conditions, il faut oser tout remettre à plat. Des initiatives doivent rapidement être prises pour surtaxer les dividendes, contrôler les licenciements, exiger des contreparties à toutes les aides publiques. Sans attendre, il faut également imposer une nouvelle répartition de la valeur ajoutée, c’est-à-dire des richesses produites. À circonstances exceptionnelles, décisions exceptionnelles, y compris pour relancer la consommation et l’activité. A défaut d'être lumineux, espérons être clair !!

Tous ensemble

le jeudi 19 mars

en gréve et dans les manifestations



Considèrant les mesures gouvernementales trop parcellaires, le refus catégorique d'augmentation du SMIC,  refus de modifier la politique d'emploi dans les fonctions publiques, refus de modification des politiques de défiscalisation... Face à l'inquiétude des salariés due à la crise, les suppressions d'emploi, l'utilisation intensive du chômage partiel... Après la mobilisation réussie du 29 janvier, l'ensemble des organisations syndicales appelle à amplifier le mouvement.


MANIFESTATION A GRENOBLE DEPART DE LA GARE A 10 H.


Venez nombreux !

 

Les autres actions dans le département

Bourgoin 10H parking Diederichs

Villefontaine 14h30 Medef

Roussillon 10h place de la République

Vienne 14h sous préfecture

__________________________________________________

JEUDI 29 JANVIER 2009...      Grèves, MANIFESTATIONS... départs
GRENOBLE, 10 H place de la Gare
BOURGOIN, 9H30 parking Diederichs
VIENNE,13h30 sous-Préfecture

Cher(e)s camarades,


Comme cela était annoncé dans l’appel du 15 décembre 2008 lancé par les organisations syndicales pour une journée de grève et manifestations le 29 janvier 2009, les organisations syndicales se sont retrouvées, ce jour, pour établir une déclaration commune sur les revendications des salariés dans ce contexte de crise économique et financière. La délégation FORCE OUVRIERE était composée de Michelle BIAGGI et René VALLADON


Après le constat que de plus en plus d’entreprises connaissent des baisses d’activités conduisant à du chômage partiel et des licenciements, les organisations syndicales ont élaboré le texte que vous trouverez ci-joint.


Celui-ci est un texte de compromis entre les 8 organisations présentes et ne peut, de ce fait, regrouper toutes les revendications de FORCE OUVRIERE. L’ensemble des revendications de notre organisation vous a d’ailleurs déjà été adressé et est rappelé dans le tract FORCE OUVRIERE d’appel pour le 29 janvier 2009 qui doit servir de référence pour les organisations FORCE OUVRIERE.


Au-delà de ce texte, il importe maintenant d’organiser une véritable mobilisation des salariés, chômeurs et retraités afin de faire reculer, gouvernement et patronat, dans leur volonté de faire payer la crise aux salariés.


Il est grand temps que les salariés puissent bénéficier des retombées des richesses qu’ils contribuent à faire progresser et dont seuls profitent les actionnaires.


Nous vous rappelons que pour FORCE OUVRIERE le 29 janvier sera une journée de grève interprofessionnelle conformément aux mandats antérieurs confirmés à l’occasion du CCN du 18 décembre 2008.


Amitiés syndicalistes.

Michelle BIAGGI

Secrétaire Confédérale

Jean-Claude MAILLY

Secrétaire Général

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