http://udfo.isere.free.fr/lyceens/
1) Malgré les courriers envoyés par nos élus ainsi que les différentes interventions faîtes par les syndicats de cheminots, nous n'avons obtenu aucune réponse de la part de la direction régionale de la SNCF à ce jour. Peut-être pourrions-nous informer la presse de ce refus actuel de la part de la SNCF de nous recevoir car les médias, jusque là, se sont intéressés à notre lutte et ont souhaité être informés de la poursuite de celle-ci.
2) Il a été proposé de prendre contact avec le médiateur de la République, chaque lycéen ou étudiant devant faire individuellement cette démarche en utilisant une lettre type.
3) Une mère d'élève, qui a eu recours aux services d'une avocate ( celle-ci a donc pu consulter le dossier judiciaire ) nous a indiqué que le montant exigé par la SNCF pour préjudice subi n'était pas argumenté ( la SNCF a donc fixé le montant réclamé empiriquement sans avoir besoin d'apporter aucune justification de préjudice ) et qu'aucune plainte d'usager mécontent n'avait été déposée contre elle ).
4) Collecte d'argent : à cette date : 150 euros
a) Les lycéens, qui sont désormais étudiants, pourraient prendre contact avec les autres étudiants des universités dans lesquelles désormais ils se trouvent afin de collecter de l'argent ( combat commun contre le CPE ).
b) Certains ont proposé d'organiser un concert mais aussi, par le biais des instances représentatives des élèves au sein du lycée, d'informer leurs camarades et de lever de l'argent. Ce dernier point a soulevé un problème d'autorisation qu'ils doivent obtenir de la part du chef d'établissement.
c) les enseignants du lycée ont profité de l'AG de pré-rentrée pour exposer à la totalité des personnels présents l'historique du combat et ont lancé une collecte d'argent auprès d'eux pour aider financièrement ces jeunes à payer leur peine financière.